Le manuscrit D1 indique : « Mais comme il n’appartient
qu’aux Roi et aux cours supérieurs de prescrire des
lois pour rectifier les abus qui se sont glissés dans
les us et coutumes du toisée des bâtiments ». | |
La dernière partie de cette préface (Remarques pour le
toisé) est absente de tous les autres manuscrits. | |
Le manuscrit D1 ajoute : « Aux murs de clôture on
prend la hauteur des diff… du larmier ou bordeaux
et on ajoute 2 pieds pour le chaperon ». | |
Le manuscrit D1 précise : « ce qui sera le pourtour
des murs pris par le milieux de leur
épaisseur ». | |
D11 : « l’épaisseur de mur proportionnée à la
charge qu’ils soutiennent. Mais s’ils ont plus de
largeur, ils sont réputés… ». | |
D1 : « depuis l’arête du lit de dessous de leurs
premier assises du bas jusqu’à l’arête du lit du
dessus de leurs dernier assises du haut ». | |
D1 : « Pour le toisé superficiel des marches de
pierre de taille l’on mesurent leurs longueur entre
les murs et les socles et l’on prend le pourtour de
ce qui est apparent tant de leurs giron que de la
hauteur de leur collet sans contourner la moulure
qui est sur le devant ». | |
D3 ajoute : « quand même s’il n’y aurait point de
seuils ni appuis, parce que la demie face des
tableaux en ce cas remplirait la baie… ». | |
D13 : « dans l’épaisseur des murs et les allèges
des appuis des croisées… ». | |
I.e. claveaux. | |
D1 = « C’est à dire tout ce qu’occupent les tuyaux
de cheminées ». | |
D1 : « est à la superficie du plan comme la
superficie de la voûte sphérique est à la
superficie du cercle de sa base ». | |
D1 : « deux desquelles lunettes sont le supplément
de ce qui manque au deux bouts d’une des portions
de la voût de cloître du même cintre sur le même
plan pour en faire une voûte en berceau ». | |
D11 ajoute : « Voûtes d’arête et de cloître, en
comparant ces dernières voûtes avec les voûtes en
berceaux de pareille circonférence sur des plans de
même figure et grandeur ». | |
D11 : « 3 pouces 3 lignes, faisant ensemble 745
pieds 3 pouces 3 lignes en superficie… ». | |
D11 : « en plein cintre des plans
irréguliers… ». | |
D12 : « le toisé des reins sont quelquefois de
diférents prix… ». | |
D12 : « segment de la circonférence du cintre de sa
portion de voute ajoutant a cette circonférence les
trois quarts de cette difference et les multipliant
par le quart de la circonférence du cercle de la
baze ». | |
D1 : « sur le noyau de la clef L ». | |
D1 : « produisent 898 pieds 1 pouce 6 lignes pour
la superficie des deux portions de voûtes AE, FB,
CG, HD, ce qui fait en tout 1910 pieds 1 pouce 6
lignes pour toute la superficie de la voûte sur
noyau du rectangle ACBD ». | |
D1 : « en additionnant la moitié de la
circonférence du mur avec la moitié de la
circonférence du noyau ». | |
D1 : « au droit du milieu des grands côtés des murs
BC et du noyau FG, est égale au diamètre QR du
milieu entre le petit côté du mur AB ». | |
D1 : « moitié de la circonférence KLM par l’un des
rayons IK ou IM ou ce qui est la même chose en
multipliant l’un des côtés de la naissance de la
voûte BA ». | |
D10 : « la superficie du secteur T&W sera égale
à la superficie de la douelle TVXY ainsi ayant
multiplié la longueur T& qui est la même ». | |
D10 : « en divisant le cintre de l’arête de la tête
de la voûte en quatre parties égales ». | |
D11 : « se toisent comme les arrière voussures en
platebandes droites en additionnant la moitié du
pourtour de l’arête de la feuillure… ». | |
D12 : « elles se nomment plinthes en larmier ou
chamfriné, on fait aussi le recreusement des
larmiers de differentes façons, la plinthe en
larmier chamfriné marqué au profil 38 est
compté… ». | |
D1 : « pour 1/4 de pied courant sur sa
hauteur ». | |
Paragraphe 47 manquant : D1, « Il n’est pas ainsi
au toisée des cadres quarrée ou rond, et aux
archivoltes l’on mesure le pourtour de leurs
moulures par le milieu de leurs longueurs, en sorte
que la plus grande longueur des moulures du dehors
est compensée pour la moindre longueur des moulures
du dedans ». | |
D12 : « quatre ou cinq pouces de hauteur en sorte
que pour augmenter le toisé ils font des filets
qu’il n’en contiendroit… ». | |
D1 : « bas du fût que l’on multipliera par la
hauteur, depuis le dessus de la base jusqu’au
dessus du chapiteau que l’on réduit à la toise
superficielle ». | |
D2 : « le recouvrement des tableaux, linteaux et
appuis qui contiennent ensemble 26 pieds de
pourtour sur 9 pouces de large, faisant 13 pieds en
superficie de lattis et recouvrement des tableaux,
linteaux et appuis qui contiennent ensemble 26
pieds de pourtour sur 9 pouces [p. 209] de large.
Faisant 13 pieds en superficie de lattis et
recouvrement, lequel étant compté 3 pieds… ». | |
D2 ajoute : « Et s’il y avait quelques unes des
faces qui fut beaucoup moins haute que les autres,
l’on ferait pour trouver la hauteur commune ce que
l’on a enseigné pour le pourtour ». | |
D2 ajoute : « Quand les plaques sont
extraordinairement grandes on les toisent à
proportion ». | |
D1 : « La manière ordinaire de toiser les chausses
d’aisances, c’est qu’on a aucun égard à la grosseur
des pots ou boisseaux, une chausse faite avec des
boisseaux de 7 pouces de diamètre est comptée comme
celle qui est faite de boisseaux de 1 pouces. Ce
qui n’est pas juste, l’on devrait compter la
chausse à proportion de la grandeur des pots qui la
composent, comme celles qui est faite de pots de 9
pouces de diamètre ; que nous toisons chaque toise
courante sur la hauteur pour 1 toise de légers
ouvrages. Les autres plus grand ou plus petit
devraient être toisée à proportion, ainsi que les
ventouses ». | |
Paragraphe manquant (109) : D1, « Les scellements
des pattes et du pourtours des châssis dormants,
dans les feuillures, des gâches et crampons des
fermeture de croisée ne sont point comptée en mur
neuf non plus que les scellements des gonds,
gâches, crampons et mentonnets des portes
ordinaires, et le scellements des pattes des deux
côtés des chambranles des portes à placards.
Lorsque les baies ne sont point rabattues, les murs
étant toisée tant plein que vide soit de moellons
ou de pierre de taille ». | |
Paragraphe 8 manquant : D1, « 8. Lorsque les bois
sont plus gros par un bout que par l’autre, l’on
mesure leurs grosseurs par le milieu de leur
longueur, ou par les deux bouts et l’on prend la
moitié du produit ». | |
D1 : « à la réserve des solives d’enchevêtrure qui
ont leurs portées d’un bout dans le mur de refend.
Le chevêtre 2 est assemblée dans les solives
d’enchevêtrure I à 3 pieds ». | |
D1 : « Les autres soliveaux assemblée dans les
chevêtres 3. qui n’ont que 18 pieds 1/2 de long.,
et ceux qui sont assemblée dans le chevêtre
2 ». | |
D1 : « Les deux solives d’enchevêtrure 4. sont
portée chacune des deux bouts dans les murs. La
solive d’enchevêtrure 5 ». | |
D1 ajoute : « Ce qui se dit des petites croisées
est le même pour les grandes lorsque les longueurs
des bois se trouvent de certaine longueurs ». | |
D1 ajoute : « La même s’entend pour les patins des
escaliers 5. ainsi des autres bois de charpente de
cette espèce ». | |
D1 : « au plus 11 pouces de long, et la cartelette
qui est d’un échantillon inégal de 8, 9, à 10
pouces de long sur 6 à 7 pouces de large ». | |
D1 : « Au contraire l’on augmente une quantité de
couverture à chaque lucarnes suivant sa
qualité… ». | |
D1 ajoute : « à l’exception des couvertures en
recherches. Ou l’on ne compte aucun plâtre ». | |
Lire « liais », par corruption populaire, cf. Les locutions vicieuses d’après M.
Noël et Chapsal, Nouveau dictionnaire de la langue
française, Bruxelles, 5e édition, 1835, voir Liais. | |
correction non
terminée (laissée en blanc) : certainement
« plâtre » | |
Lire « liais », par corruption populaire, cf. Les locutions vicieuses d’après M.
Noël et Chapsal, Nouveau dictionnaire de la langue
française, Bruxelles, 5e édition, 1835, voir Liais. | |
Lire « liais », par corruption populaire, cf. Les locutions vicieuses d’après M.
Noël et Chapsal, Nouveau dictionnaire de la langue
française, Bruxelles, 5e édition, 1835, voir Liais. | |
Lire « liais », par corruption populaire, cf. Les locutions vicieuses d’après M.
Noël et Chapsal, Nouveau dictionnaire de la langue
française, Bruxelles, 5e édition, 1835, voir Liais. |